B O N J O U R , Ecriture pour tous les âges
Composition Isabelle DuFre(s)ne ( réglez votre son AVANT )
ASCENSEUR
Avec une goutte d’eau
***
Je pense à l'heure du goûter
Qui m’a fait grandir des années
J’ai tant d’instants à partager
Je ne l’ai pas vraiment oublié
Quand je le prépare
De ses saveurs si rares
Je mêle au désespoir
L’ancolie aux perles noires
Je fais accompagner
D’une liqueur parfumée
Un petit bout crista llisé
Pour un moment sucré
Mais déjà me rappelle
Le besoin de programmer
La prochaine séance qui, bien sûr, est celle
À savourer… pour un dîner !
Fr an ce
Ô , Terre à bateaux !
Sur mer ou sur l’eau
Vogue encore le paquebot
Dans les âmes des souvenirs
Une framboise d’avenir
Et pour soulager les peurs
Avant la cloche du sonneur
De ces récifs aux moments épiques
Toute frontière est fortuite
Comme la mer est forte
De tout baldeau qu’elle porte !
Comme un mur océanique
La bâtisse pose ses grilles
De passage à quai
Edifiant, telle une longue haie
Si le dernier est aussi le premier
Son départ est alors annoncé
Les navires mènent vers la faim
Des marinades à déguster en grillade
Pour un jour, être mené vers sa fin
Loin des barrières de corail
Pièce par pièce, tous sont reconstitués
Autres noms, autres formes, autres couleurs
Une nouvelle bouteille est annoncée
Elle se déverse parfois avant des pleurs
Pour conclure : des clôtures !
Et "L'Espérance" de Caravelle
A
Le jour a sombré...
Connaissez-vous la muse d'arbre ?
Celle qui amuse la licorne
Elle avait tant de larmes
Retenues pour un orme
Le saviez-vous ? La « cimacat »
Et ce chaton oublié
Il sauterait bien tous les obstacles
Mais dans la toile, il est tombé
Avez-vous vu la lueur d'espoir
Pendant une histoire de poivrier
La nuit est devenue noire
Simplement pour la cacher...
Alors, le jour a sombré !
QUAND LE CIEL...
Quand le ciel ouvre sa voie
Pour éclairer d’un bleuté
Lorsqu'il laisse toujours de la place
Aux nuages , sans oublier…
.
... Ce solei l et ses amours Pour qu'enfin elles lui diffusent des rayons Car ce soleil s'élève tous les jours Pour un ciel d'un bleu clair profond
.
Mais combien de nuages
Deviennent-ils gris sous ce bleu ?
Mais combien d’amouraches
Et de mariages « heureux » ?
.
Quand le ciel ferme sa voie
Et qu'il sombre dans le noir
Lorsqu'il laisse parfois de la place
À q ue lq ue s é to il es , à v oi r…
.
Le soleil est parti
De l’autre côté
Eclairer les amis
Souvent imaginés
.
Si la Lune pouvait le dire
De jour comme de nuit
Elle dirait qu'elle tourne en son sens
Dans cet univers immense
.
Mais combien de planètes
Pourraient bien accueillir
Toutes les amourettes
Et celles encore à venir ?
Amour de rimes
>> Arthur à la mûre
La rime à la farine
Le poète à couettes
Bonne lecture vous souhaite !
>> Allons, de ce pas
Nous préparer pour le repas
Vêtus de brillants tissus
Une cascade de Bavière fuse
>> L'assise en molleton
Fera taire plus d'un son
Marie en écuyère
Fera patienter le dessert
>> Mais, que me vaut cette poissonnade
Aux côtés du lapin tardif
La dégustation olfactive prévoit le digestif
Il manquerait une corbeille-pintade...
(Paraît-il !!?)
>> Amuse-goût, amuse-cagoule
Il y en a pour tous les âges
Ou bien pour tous les goûts
Bon appétit aux grands sages !
** La fiction des souvenirs **
Un rangement intime
Au détour d’un voyage
Rappelle un ordre infime
Car le temps presse avec l’âge
C’est étrange ce sentiment
D’avoir perdu son temps
Auprès d’autres êtres peuplant
Qui, parfois, rêvent de paravents
C’est extravagant ce bout de terre
Aux silhouettes difformes
Aux bras désarticulés et si maigres
Avançant dans la brume aux reflets d’or
Mais, d’où viennent ces souvenirs
De peuplades jamais vues ni aperçues
N’était-ce qu’un rêve d’un éventuel avenir
Ou bien le résultat de recherches sûres
Ils avançaient lentement vers la lumière
Des projecteurs allumés pour la raison
S’éloignant de leur ambulante tanière
Atterrie dans le champ d’objectifs en rond
Leurs mains devenaient distinctes
À force de les tendre en avant
Passant du vert au rouge et autre teinte
Leur corps irisé brillait sombrement
La forme cylindrique déposée plus au loin
Paraissait argentée quelque peu noircie
Les nuages s’y confondraient bien
Mais il manquait les gouttes de pluie
Chacun de leur pas s’effaçait sans empreintes
Sur le chemin que, à ce moment, ils empruntent
Ils sont si petits comparés aux humanoïdes
Et la pluie tombe depuis…
La flore se compare aux humains
Nostalgiques voire extravagants
Des grandes cueillettes d’antan
Et la mode ambulante tient les demains
Extraterrestres ou nouveau peuple
Au style formel et décontracté
Au vu des voyages modernes
Parfois pauvres à marque au polo
La distinction est de mise
La comparaison est incisive
Ils étaient venus d’autres planètes
Ou bien pensés en turbulette
Au rapprochement de leur visage
Si l’on pouvait appeler cela...
Les traits de simulacre
Se devinaient derrière un sourire plat
Leurs yeux se plissaient dans ce sens
Puis les genoux à rotules saillantes
Se mirent à viser les rotondes
Heureusement encore si verdoyantes
L’Humain est mené vers la nourriture
L’extra en a fait un service
Il essaiera parfois d’éviter la fioriture
Mais également tous les sévices
Quand la lune se cache derrière les nuages
Pour restreindre la vue d’intrus
Ce qui est parfois souhaitable
C’est qu’un projet ne la remplace plus
Quant aux êtres difformes
Sortis d’objets volants non identifiés
S’ils atterrissaient dans une forêt d’ormes
C’était parfois pour une visite inexpliquée
Le sapin !!!
O Louis
et la monARChie
* * * L'ouïe, le sens
reçoit
< une flèche>
===o
C'est un bâton de coton-tige pour l'oreille ! oOoOo
LE PETIT NUAGE
Un petit nuage
O Sur ton nez O
Effleure ta pensée...
O Un bâtonnet de glaçon O
Réchauffé de coton
o Ouvre les horizons... o
Vers d'autres lieux, d'autres vies
o D'autres couleurs aussi o
Selon la floraison...
***
Lecture en famille devant l'écran, en assemblée !
Cerises, Framboises, Houx
O baies buisson
Aucuba - Lobelia - Abelia
Les végétaux de France et d'ailleurs
Le vase - Le graal - La Rose-Croix - Découverte des trésors
Tantôt !
* * * *
ISABELLE DUFRENE
Tant qu'il y a des arbres, il y a des arcs et des jardins
Mon physique est ma carte d'identité
et la représentation de végétaux
L’arbre enguirlandé
ou Le chant point de Croix
Qui c'est fait enguirlander
Le jour de Noël ?
Dans un arbre, il est né
Poussent, poussent les ailes !
Elles scintillent sur les pieds
Les branches sont vraiment belles !
Pas de vent pour faire tomber
Une glissade plus ou moins celle...
La lumière fait jouer
Suivant la chanson Dix tel
Un rôle de beauté
Rôle déployant les ailes
Des oiseaux, ce jour férié
Sont perchés dans l’arbre tel
Un abri de longue durée
...Et dans son nid, oisillon appelle...
Ouvre ou ferme ton bec, petit oiseau !!!
Isabelle DuFrène
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REMERCIEMENTS
En attendant Noël !
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